Le mois de janvier étant reconnu comme le mois le plus déprimant de l’année, il n’est pas étonnant de commencer février de reculons, surtout avec les défis financiers qui nous attendent. Bien que la motivation manque à l’appel, 2022 reste pleine de promesses (à condition de ne pas baisser les bras).
Ça va bien aller, vraiment ?
Face à la crise, il est difficile de rester positif. La pandémie qui se prolonge avec le nouveau variant affecte nos émotions et joue dans nos têtes. Nous sommes tous épuisés par les mesures de restriction et le manque de contacts humains. Pas étonnant que la déprime financière gagne bien des gens.
Vous n’êtes pas seuls
Si vous vous reconnaissez dans cette situation, dites-vous que vous n’êtes pas seul. Pour de nombreux citoyens, les soucis d’argent constituent la plus grande source de stress, plus que le travail, la santé personnelle et les relations. D’ailleurs, les Québécois passent en moyenne 7 heures par semaine à s’inquiéter de leurs finances. En tête du facteur le plus stressant : l’augmentation du coût de la vie.
L’effet domino
En effet, les trois piliers d’une bonne santé sont le bien-être physique, mental et financier. Et ils sont tous les trois reliés. Il est prouvé que les gens qui ressentent un stress financier sont quatre fois plus susceptibles de souffrir de maux de tête et plus à risque d’éprouver de la tension dans leurs relations personnelles. Ce stress peut même entraîner des problèmes plus graves, comme la dépression, l’anxiété ou des maladies du cœur.
Travailler sur votre bien-être financier aura donc un effet positif sur votre bien-être physique et mental. Ça vaut donc triplement la peine de ne pas lâcher et de maintenir de saines habitudes financières qui seront bénéfiques à long terme.